La boulangerie parisienne est un véritable cocon, avec ses 1200 affaires, un peu comme si elle était protégée du grand bouleversement qui se vit en dehors. Banlieue, province, il ne se passe pas une semaine sans que l’on ne lise des histoires d’artisans en danger, pris dans la spirale de la concurrence et des charges. Même si le nombre d’affaires a réduit au sein de la capitale, le commerce y demeure encore bien présent, et la réussite n’est pas impossible dès lors que l’on est doté de savoir-faire, de compétences en gestion d’entreprise et de personnel. A croire qu’un… Ange veille sur la profession.

Installée dans une Zone Artisanale, la boulangerie Ange de Lagny-sur-Marne côtoie un opticien, un drive... et un restaurant Del Arte. Le lieu apporte ainsi une alternative aux ouvriers travaillant dans le secteur, jusqu'ici cantonnés au Mac Donald's situé non loin, où aux repas relativement onéreux de la chaine des pizzerias. En bordure de route, avec du stationnement, l'emplacement est cohérent avec les choix de l'enseigne et présente un indéniable caractère pratique.

Installée dans une Zone Artisanale, la boulangerie Ange de Lagny-sur-Marne côtoie un opticien, un drive… et un restaurant Del Arte. Le lieu apporte ainsi une alternative aux ouvriers travaillant dans le secteur, jusqu’ici cantonnés au Mac Donald’s situé non loin, où aux repas relativement onéreux de la chaine des pizzerias. En bordure de route, avec du stationnement, l’emplacement est cohérent avec les choix de l’enseigne et présente un indéniable caractère pratique.

Ou plutôt, cet Ange veille sur les boulangeries françaises, en s’installant en périphérie et au sein de centres commerciaux. Les Boulangeries Ange ont commencé à se répandre sur notre territoire par le Sud, avec des implantations dès 2008 à Miramas, Istres l’année suivante, Fos-sur-Mer il y a deux ans… puis le Nord, la Bretagne, l’Auvergne… mais aussi l’Ile-de-France, avec une unité située à Lagny-sur-Marne.

Le ton est donné à l'extérieur : ici, il ne s'agit pas d'un terminal de cuisson mais d'une boulangerie artisanale, un point cher à ce type d'enseigne souvent assimilé à de l'industrie pure.

Le ton est donné à l’extérieur : ici, il ne s’agit pas d’un terminal de cuisson mais d’une boulangerie artisanale, un point cher à ce type d’enseigne souvent assimilé à de l’industrie pure.

Après avoir découvert le concept Marie Blachère, il m’était impossible de passer à côté de cette enseigne boulangère, portée par le « 3+1 » (trois produits achetés, un offert), des implantations redoutables et des pratiques bien huilées. Le déploiement des boulangeries Ange est un peu différent : pas de boutiques couplées à une autre entreprise, uniquement des ouvertures en propre, pour un résultat généralement bien mieux fini, avec une atmosphère plus calme et moins portée sur le « spectacle » : l’esprit « marché », qui correspond bien à Grand Frais, n’est pas repris ici. Au contraire, l’idée est de développer un espace plus « cosy » avec le concept Ange Café.

Le client est accueilli par un large étal de pâtisseries, dans un écrin soigné : présentoirs boisés, ambiance tamisée et éclairages portés sur les produits... rien n'est laissé au hasard.

Le client est accueilli par un large étal de pâtisseries, dans un écrin soigné : présentoirs boisés, ambiance tamisée et éclairages portés sur les produits… rien n’est laissé au hasard.

Cosy, oui, mais attention à ne pas virer dans le sombre. C’est malheureusement le cas à Lagny, et même si le noir et le vert ne sont pas sans rappeler les codes du luxe, le résultat manque de lumière. On peut tout de même saluer le travail réalisé sur la solidité de l’ensemble, car un an après l’ouverture, l’ensemble a bien vieilli.
Bien sûr, tous les éléments sont là pour rassurer le consommateur, avec un fournil entièrement ouvert sur l’espace de vente. Les seules cloisons servent à séparer l’espace « café » du flux de clients.

Le traiteur se divise en vente assistée, pour les sandwiches, quiches et salades, et libre-service pour les boissons, desserts et quelques propositions salées. L'organisation est quasi-millimétrée pour être efficace au déjeuner.

Le traiteur se divise en vente assistée, pour les sandwiches, quiches et salades, et libre-service pour les boissons, desserts et quelques propositions salées. L’organisation est quasi-millimétrée pour être efficace au déjeuner.

Le plus intéressant ici sans doute la volonté de se placer sur un créneau qualitatif, en mettant en avant une une liste de « valeurs » développées par l’enseigne. Ainsi, le « 3+1 » est subtilement rappelé par la formule « Ange, c’est trois fois meilleur ». Oui, mais par rapport à quoi ?
10 engagements : goût, produits sains et naturels, prix bas, générosité, fraicheur, citoyenneté, solidarité, simplicité et qualité de l’accueil. Prenons donc tout cela dans l’ordre.

Ma baguette. C'était la plus cuite que l'on ait trouvé. Au nez, on sent un peu d'acidité et un léger parfum de froment. La dégustation se fait dans les mêmes notes, avec une mie bien hydratée et une absence de consistance liée à la cuisson. La conservation n'est pas si catastrophique qu'on pourrait le craindre de par la cuisson, grâce au travail sur levain. Plus cuit, ce serait sans doute un produit de bonne facture.

Ma baguette. C’était la plus cuite que l’on ait trouvé. Au nez, on sent un peu d’acidité et un léger parfum de froment. La dégustation se fait dans les mêmes notes, avec une mie bien hydratée et une absence de consistance liée à la cuisson. La conservation n’est pas si catastrophique qu’on pourrait le craindre de par la cuisson, grâce au travail sur levain. Plus cuit, ce serait sans doute un produit de bonne facture.

Goût : Les pains sont travaillés sur base de levain et on y retrouve une pointe d’acidité qui parvient à les « assaisonner » de façon plutôt agréable. Ainsi, la baguette Ange pourrait bien difficilement être qualifiée de mauvais produit. On peut toutefois regretter son façonnage quasi absent, ce qui aboutit à un pain qui n’attire pas franchement l’oeil. Même remarque pour les cuissons, très peu marquées lors de mon passage. Cela ne semble pour autant pas être une coutume dans ces lieux, où on cherche à répondre à toutes les envies : pavé Ange (aux céréales), pain de semoule, à l’huile d’olive, au levain, aux fruits secs ou pépites de chocolat (les « délices »), aux olives…

Sur les sachets, on rappelle bien le "trois fois meilleur". Sain, naturel, savoureux... Autant d'éléments dont on peut profiter sur place, dans l'espace "Ange Café", qui bénéficie de sa propre carte imprimée sur papier glacé, s'il vous plaît.

Sur les sachets, on rappelle bien le « trois fois meilleur ». Sain, naturel, savoureux… Autant d’éléments dont on peut profiter sur place, dans l’espace « Ange Café », qui bénéficie de sa propre carte imprimée sur papier glacé, s’il vous plaît.

Naturalité : Les farines employées sont livrées par la Minoterie Girardeau, et sont moulues à base de blés CRC. Ce choix est à noter, dans un environnement où l’on cherche plutôt à tirer sur les coûts : la chaine semble avoir bien intégré la nécessité de rassurer le consommateur sur la qualité des matières premières, d’autant plus dans un contexte où les scandales alimentaires sont fréquents.

L'alvéolage est plutôt bien marqué, on est très loin de la baguette de pain courant proposée par de nombreux artisans. Pour 0,95€ (et 0,71€ pour 3 achetées), c'est relativement correct en Ile-de-France... face à cela, nos artisans doivent avoir à coeur de conserver une baguette de qualité à un prix abordable.

L’alvéolage est plutôt bien marqué, on est très loin de la baguette de pain courant proposée par de nombreux artisans. Pour 0,95€ (et 0,71€ pour 3 achetées), c’est relativement correct en Ile-de-France… face à cela, nos artisans doivent avoir à coeur de conserver une baguette de qualité à un prix abordable.

Prix bas : 0,95€ la baguette Ange à l’unité, ce n’est pas si bon marché que cela. Le positionnement prix est ainsi entre la baguette de pain courant et la Tradition, ce qui demeure assez cohérent vis à vis du produit proposé. Bien sûr, le « 3+1 » est redoutable et créé chez le client l’impression de faire une bonne affaire… d’autant que l’on pousse à la surgélation. Un procédé bien connu de l’entreprise, dont une partie des pâtisseries sont clairement indiquées « décongelées », tandis que les tartes aux fruits sont finies sur place, de même que les sandwiches, salades, pizzas et quiches. Le croissant, proposé à 0,80€ la pièce, reste ainsi – tristement – une « bonne affaire », si l’on compare au prix demandé par bon nombre d' »artisans » pour un produit tout aussi industriel.

Même si les viennoiseries sont industrielles, elles demeurent équivalentes à celles proposées par de nombreux "artisans" indépendants... pour un prix inférieur. Dès lors, l'intérêt de la clientèle est compréhensible.

Même si les viennoiseries sont industrielles, elles demeurent équivalentes à celles proposées par de nombreux « artisans » indépendants… pour un prix inférieur. Dès lors, l’intérêt de la clientèle est compréhensible.

Générosité, fraicheur, citoyenneté, solidarité : Pas ou peu de repasse, distribution des invendus à des associations caritatives, on trouverait bien peu de choses à redire là dessus.

Derrière les vendeuses, le fournil est entièrement visible.

Derrière les vendeuses, le fournil est entièrement visible.

Simplicité et qualité de l’accueil : Effectivement, l’offre est claire, le service agréable et efficace, et le caractère parfois désagréable de petites boulangeries de village ou de quartier, où Madame fait profiter la clientèle de toute sa joie de vivre, n’a pas cours ici.

Côté pains spéciaux, on notera que la plupart des pièces sont vendues au poids. A l'inverse de chez Marie Blachère, les prix ont moins tendance à s'envoler, avec notamment un pavé au levain à 4,50€ le kilogramme, ou le pavé Ange aux céréales à 5€/kg.

Côté pains spéciaux, on notera que la plupart des pièces sont vendues au poids. A l’inverse de chez Marie Blachère, les prix ont moins tendance à s’envoler, avec notamment un pavé au levain à 4,50€ le kilogramme, ou le pavé Ange aux céréales à 5€/kg.

Ni Ange ni démon ? C’est en tout cas la question que je me pose. Le concept est cohérent, il répond à une attente d’efficacité et de prix, avec des produits plutôt honnêtes. Dès lors, difficile d’en vouloir aux consommateurs de se tourner vers cette offre, qui est une alternative tout à fait crédible aux points chauds purement industriels. A mon sens, les artisans doivent ne doivent pas chercher à jouer sur le même terrain, car la partie serait perdue d’avance : au contraire, il faut se différencier en mettant en valeur son savoir-faire et le caractère singulier d’un boulanger authentique. Il existe une vraie place pour des produits non uniformisés, en marge d’un monde toujours plus mondialisé : les consommateurs ont besoin de refuges, et la boulangerie peut tout à fait en être un, dès lors qu’on ne cède pas aux sirènes de l’industrie. Reste ensuite à assurer la viabilité de « l’entreprise artisanale » et cela passe par un service irréprochable, une offre et des coûts de revient maîtrisés.

Difficile de prendre une bonne photographie des baguettes Ange, la lumière étant assez faible. Malgré tout, on peut apercevoir les cuissons trop courtes.

Difficile de prendre une bonne photographie des baguettes Ange, la lumière étant assez faible. Malgré tout, on peut apercevoir les cuissons trop courtes.

Infos pratiques

Toutes les informations sur http://www.boulangerie-ange.fr

Pâtisseries, Boulangerie Ange, Lagny-sur-Marne (77)

15 réflexions au sujet de « Boulangeries Ange, un concept qui veille »

  1. C’est une idée vraiment intéressante de concurrencer les horribles terminaux de cuisson sur leur terrain. Dommage alors de mélanger l’offre artisanale de qualité avec la pâtisserie industrielle qui donne envie de prendre les jambes à son cou.

    Au final, on peut craindre que l’offre ne soit pas très lisible pour le consommateur, surtout qu’à regarder tes photos, on n’a pas l’impression que l’utilisation de farine CRC soit tellement mise en avant.

    Bravo pour ton article de fond !

    • Le mélange ne s’effectue pas vraiment, car même si certaines pâtisseries sont assemblées sur place, j’ai quelques doutes sur la provenance des « bases » utilisées pour leur fabrication.
      La farine CRC est mise en avant sur les sachets, et notamment l’écrin à baguette, c’est sans doute l’endroit le plus pertinent et marquant puisque le client l’emporte avec lui. De plus, l’élément est repris dans la liste d’engagements affichée en boutique… mais CRC reste encore un acronyme bien mystérieux pour le grand public, dès lors, je les vois mal baser leur communication dessus même si cela a de l’intérêt.

  2. Bonjour,

    Je vais vous éclaircir l’esprit concernant cette entreprise. Je suis artisans boulanger-pâtissier et j’ai déjà travaillé pour une enseigne similaire à celle-ci présenter dans ce sujet, ce ne sont pas des boulangeries artisanales mais des industriels dissimulés derrière des valeurs artisanales, le consommateur est dupé par des labels CRC, BIO et pense acheter de la qualité.

    En réalité il n’y a aucun savoir faire artisanal dans de telles entreprises, le levain naturel qu’il fabrique et que les boulangers incorporent dans la pâte est en fait un moyen de donner du gout à un produit qui serait insipide et rassi en l’espace de 3/4 heures sans ce levain naturel. Le pain est fabriqué en l’espace de 6 heures à peine.

    On est bien loin des vrais valeurs artisanales!

    Cordialement

    • Oulala non. Voici un commentaire bien agressif et loin de ce que sont les boulangeries ANGE. Connaissant bien les créateurs d’ANGE, je peux vous affirmer que les valeurs revendiquées sont réelles, sincères et bien vécues dans l’entreprise!!
      D’autre part, la fabrication artisanale de la baguette Ange ne peut se faire en moins de 12 heures….
      N’hésitez pas à contacter le responsable du magasin pour échanger avec lui.
      Charlotte.

      • Je peux vous faire pour y avoir travaillé
        Ils utilisent pleins d additif dont le fameux E 471
        Forcément ils utilisent de la farine ordinaire pour faire un genre de tradition .il n y a pas de secret sans parler des salaires des employés, 80% de turn over à 1 an .

  3. j’adore ce pain pas de croute sur la table et en plus a mon gout (il en faut pour tout les gouts) est excellent .Nombreuses personnes que je cotoyes ont gouttés et le trouvent bon,et en plus on peut le congeler et il ressort pareil, rechauffé au four et s’est parti

  4. j achetais 8 baguettes pour 4 euros tous les mardi mais on ma dit c est fini et bien domage pour vous et pour moi boulangerie la fare les oliviers

  5. Je suis très étonnée par leur formule à4,95 comprenant sandwich ou pizza avec dessert et eau mais quand vous vous présentez à la caisse avec de l eau pétillante on vous fait payer 0,50 ct de plus en argant que seule l eau plate est concernée par la formule et que l eau pétillante est assimilée aux boissons en cannette. J ai bien regardé les foyers et les affichages je ne vois nulle part la mention eau plate sur cette formule.c est dommage de tromper le consommateur même si à la caisse on vous l annonce à priori l affichage devrait être précis

  6. super cette boulangerie Ange , j achète 8 baguettes pour 4 euro ,je les congèle et elles restent aussi tendre ,j y retourne régulièrement,je conseille cette boulangerie et peu importe les commentaires négatifs c est mon choix

  7. Ohhhhhhhh ! J’en n’ai mal au ventre !
    Â pain médiocre ! Farines médiocres ?
    Quels sont les meuniers et grossistes qui cautionnent ce commerce ?

  8. Je viens justement d’essayer cette boulangerie pour la première fois. Les croissants sont très bons, par contre les baguettes ne sont pas qualitatives. J’ai l’habitude d’acheter 4 baguettes chez Marie . Je les conserve 3-4 jours dans une boite à pain en acier et elles ressortent toujours aussi bonnes et non caoutchouteuses et se conservent beaucoup mieux que celles du boulanger du coin de bonne qualité mais conservation 6 heures maximum.
    Bref Ange pour moi c’est fini, je retourne chez Marie

  9. J’ai pris 6 pavé ange au graine tranché chez ange le lundi 5/10/2020 a Frouard et je les congèle.
    .On fais deux semaines avec , cela fais plus d’un an qu’on le prend chez Ange .
    Mais la très déçu 😠😤🤢🤮 du 5/10/2020 😠😠😠🍞🍞🍞
    le pain pas cuit et part en couille et la jeune fille et arrivé a me les tranchées quand même., et en plus sans sel. , et pas le goût des graines.
    La je suis très déçu et en colère..
    Mr ou Me le directeur des boulangerie Ange , vous devriez faire attention qui vous prenez pour faire le 🍞 et la pâtisserie.
    Vous avez perdu des clients 😠😠

  10. Waouh, j’ai travaillé 10 ans en tant que directrice d’une boulangerie pâtisserie artisanale. Nous réalisions sur place tous nos produits, des croissants aux pains spéciaux en passant par les entremets. Je prends conscience ici de l’exigence (justifiée) de la clientèle, mais je vous demande de garder en tête que derrière le travail artisanal, il y a de l’humain. Ces ouvriers comme, nous mêmes, font des erreurs (oubli de sel, pas assez de cuisson,…) le tout est que cela doit être le plus rare possible. S’il vous plait, soyons tolérants l’un envers l’autre, autrement, ces ouvriers de la fabrication artisanale seront très vite replacés par des terminaux de production « zéro défaut ». Lorsque vous constater une erreur, maintenez votre confiance à votre boulanger et rapportez lui le produit, il vous l’échangera volontiers et saura retenir la leçon pour plus de vigilance. Vous remerciant d’avance de votre fidélité pour des aliments de qualité.

  11. Je suis en phase de test pour cette boulangerie qui a 3 magasins autour de chez moi. J’ai testé un pain au levain dont la souplesse de la mie était proche de la biscotte. Le second s’appelle je crois, le pain rustique la croute est très brune. La souplesse de la mie conforme à ce qu’on attend généralement d’un pain mais rien extraordinaire au goût. En ce qui concerne le mode de fonctionnement, je soupçonne qu’aux lieux de « nos boulangers » il n’y en ait qu’un seul et que le reste de ce qu’on appelle soit des apprentis ou CDD courts. peut-être que ces « boulangers » méritent ce titre parce qu’ils emploient UN boulanger mais si leur apport à la qualité de notre alimentation est nulle, je pense que leurs nombres sur une même ville doit être contrôlé parce qu’ils nous coûteront très chers lorsqu’ils auront coulé tous nos talents locaux. Bref, je suis contre, parce que je n’ai trouvé aucune raison d’être pour.Réservé aux balieusards circulant en voiture et disposant ainsi d’un parking gratuit. C’est tout !

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