Je crois que l’on peut dire que je ne recule devant aucun sacrifice pour vous informer. Dernier en date, aujourd’hui, lorsque j’ai fait l’acquisition du dernier numéro de Grazia. Non pas que je dénigre le travail réalisé par les équipes de rédaction de ce genre d’hebdomadaire féminin, mais disons simplement que les potins au sujet des stars hollywoodiennes ne constituent pas ma littérature favorite.

En réalité, je n’ai pas réalisé cet achat par hasard. J’avais été informé du fait que cette édition contenait un article au sujet du très cathodique et néanmoins sympathique Gontran Cherrier.
Décidément, il reste le boulanger chouchou des médias, toujours entre télévision (avec une présence sur France 2 le samedi matin), presse écrite ou internet… même si cela ne l’empêche pas d’être présent dans sa boutique du 22 rue Caulaincourt – fermée jusqu’au 17 août inclus.

Cette exposition médiatique peut déplaire, car on parle d’une personne et non pas du produit, ici le pain. Or, cela devrait être le centre des préoccupations. Cela reste cependant assez positif, car il représente un « ambassadeur » du pain de qualité, que ce soit sur le plan public ou au quotidien, au sein de sa boulangerie. Que voulez-vous, le pain est tendance… ou bien est-ce plutôt les hommes qui le font, s’ils sont jeunes et séduisants. En pâtisserie, l’exemple de Christophe Michalak est plutôt similaire.

Une fois mises de côté ces considérations, l’article nous apporte quelques informations intéressantes, et notamment le fait que la boutique montmartroise sera bientôt rejointe par deux autres. Moins d’un an après l’ouverture de sa première boulangerie, Gontran Cherrier – et les personnes qui l’accompagnent – voit les choses en grand et ne manque pas d’ambition. Personnellement, je suis toujours un peu circonspect, car ce genre de multiplication entraîne bien souvent une perte de qualité, du fait de la difficulté à suivre la qualité sur l’ensemble des points de vente. De plus, cela fait peut être un peu « jeune » pour grandir aussi vite, je ne sais pas si l’entreprise possède le recul nécessaire sur son concept et son positionnement – même si tout cela semble très bien fonctionner, la clientèle étant nombreuse et visiblement assez fidèle. Je souhaite de tout coeur que cette croissance se fera de façon vertueuse, car je n’aimerais pas perdre une de mes adresses préférées !

Dans tous les cas, cette exposition médiatique ne semble pas entamer la créativité de notre boulanger, preuve en est de ce concept autour des galettes feuilletées, qui semble assez intéressant. Autant de sujets à suivre de près… la rentrée promet d’être très painrisienne !

Ca me paraît un peu fou, plus de 100 billets. Je ne pensais jamais les atteindre, en fait. Je m’étais lancé un défi à moi même, celui de me dire que j’allais écrire de façon régulière, entretenir un projet et essayer de le faire grandir. Je n’avais pas eu l’occasion ni l’envie de le faire depuis longtemps, et cela a représenté pour moi bien plus qu’un simple blog.
Peu à peu, j’ai repris du plaisir à partager aussi bien des mots que des moments avec d’autres personnes, le painrisien c’est un peu une fenêtre ouverte vers l’extérieur, un laboratoire dont la seule visée serait de faire grandir une belle idée : créer du plaisir au quotidien au travers d’un univers gourmand et accessible. Cela ne s’arrête pas au pain, non, c’est un véritable état d’esprit… Mon objectif de toujours ? Changer le monde 😉 – un peu caricatural et naïf, mais j’aime à croire que l’on peut parvenir à un quotidien plus agréable au travers de petites actions, de petits gestes simples.

100 billets, c’est donc plus de 3 mois de rédaction, de travail, mais ce n’est pas grand chose par rapport à ce qui doit suivre. Je suis à présent convaincu qu’il y a une belle histoire à écrire, que je ne suis pas en train de brasser vainement de l’air. Pour plusieurs raisons : tout d’abord parce qu’il y a incontestablement un « public », une communauté d’internautes en recherche d’informations et intéressés par le sujet, mais parce que Paris est une véritable jungle, où les quelques classements, guides et articles ne sont pas toujours très utiles ni objectifs. Difficile dès lors de se repérer, de trouver les adresses qui valent réellement le déplacement. Cela concerne aussi bien les touristes que les « locaux » : l’information est intéressante pour tous, dès lors qu’elle peut contribuer à améliorer le quotidien.

Ce n’est pas grand chose car il reste beaucoup de travail, aussi bien sur la forme que sur le fond. Aujourd’hui, le blog ne ressemble pas à grand chose, mais cela va bien changer dans les semaines à venir. En parallèle, j’essaie toujours d’améliorer ma qualité rédactionnelle, ma rigueur et ma pertinence, tout en cherchant à vous offrir des contenus variés – en bref, votre dose quotidienne d’actualité gourmande, un peu de sourire et d’envie.

Au final, pas de champagne, à peine juste une belle tranche de pain à partager « entre amis », car nous sommes tous des amis, entre amateurs de bon pain ! Par ailleurs, vous êtes tous les jours plus nombreux à prendre part à l' »aventure » en venant ici, et je voulais en profiter pour vous en remercier. Non seulement cela m’encourage à continuer, mais je suis heureux que ce travail soit partagé, qu’il prenne du sens.

Le point d’étape est fait, je n’ai pas grand chose à y ajouter. A demain pour de nouvelles aventures !

Je ne sais pas si je peux faire un bilan au bout de deux mois d’écriture, en plus je n’aime pas ça. Disons que c’est un point d’étape, un coup d’oeil sur les perspectives et les évolutions à venir.

Pour commencer, je ne peux qu’être surpris de ma propre assiduité. J’ai réussi à tenir un certain rythme dans les articles, ce qui n’était pas gagné. J’avais arrêté d’écrire depuis un certain temps et il n’est pas toujours facile de s’y remettre. C’est un exercice intéressant et stimulant ! Je m’étais un peu trop servi de mes jambes et bras et plus de ma tête, ces derniers mois. Inverser la tendance aura été plus que bénéfique.

Bénéfique, oui, le mot est bien trouvé. J’irais presque plus loin : thérapeutique. Blogging thérapeutique, concept intéressant. Pour moi, cela a représenté l’opportunité de rencontres, de partage… et de plaisir. D’autant que ce plaisir semble être mutuel : des personnes semblent avoir pris l’habitude de me lire et reviennent régulièrement, ce serait plutôt bon signe ! On m’a remercié assez chaudement pour plusieurs de mes articles, mais je crois que c’est surtout moi qui devrait faire ces remerciements, car j’ai l’impression que cela m’apporte plus que je n’apporte aux autres en faisant ce « travail ».

Justement, parlons de travail et d’emploi. Le painrisien est chômeur depuis quelques mois. Raisons de santé et manque d’envie. J’étais tellement fatigué et nerveux que je ne pouvais plus faire mon travail correctement. Le beau temps aidant je me sens mieux… et je m’ennuie. Il faudra peut-être que je retrouve un emploi ! ou bien…

Me consacrer à plein temps au painrisien. Depuis le début je suis persuadé que le concept a un certain potentiel et pourrait être développé, car tout cela a un côté porteur, fortement ancré dans notre culture gastronomique. Actuellement, le blog est à peu près au niveau zéro de ce que je voudrais faire, quelque chose de beaucoup plus visuel et d’attrayant. Cela commencera peu à peu, avec plus d’illustrations, de photos. J’ai changé d’appareil ces derniers jours, justement pour parvenir à vous montrer toutes ces belles boutiques et ces beaux produits sous leur meilleur jour. Au delà de ça, il y a bien sûr l’interface même du site qui doit être revue – ou plutôt vue, car ça n’a pas été encore le cas. (d’ailleurs, à ce sujet, si vous connaissez un bon graphiste…)
Bien sûr, le contenu devra s’enrichir et gagner en variété, notamment au travers d' »itinéraires gourmands », de rencontres et bien plus encore, selon mon inspiration et mon envie.

Le seul problème dans tout ça ? En vivre. Je n’ai pas trouvé de modèle économique cohérent pour tout cela. Il est hors de question d’afficher de la publicité, je ne suis même pas sûr que cela pourrait rapporter quoi que ce soit, d’ailleurs. Au final, le plus pertinent serait peut-être de « vendre » ma prestation de conseil, de guider des touristes/curieux dans toute cette farine parisienne ! Je ne sais pas. C’est à réfléchir. Bien sûr, si vous avez des opportunités d’emploi, je prends aussi.

Allez, maintenant, il faut continuer. Ce n’est vraiment que le début.

Les idées des meuniers me font sourire, parfois. La dernière en date, c’est celle des Moulins Soufflet, au travers de sa marque Baguépi. Pour la saison estivale, ils ont imaginé une sublime baguette, composée d’un « mélange subtil d’herbes aromatiques, de levain, de menthe et son bon goût croquant de pistache et la noisette ». Tout un poème.
Je reste un peu perplexe face à ce genre de produit marketé. Pour qu’il soit réalisable par les artisans boulangers affiliés à la marque Baguépi, il faut qu’un mélange soit élaboré au préalable par le meunier, ce qui fait que toutes les saveurs vantées par leur service communication ont un petit arrière-goût… d’industriel. C’est assez dommage que ce genre de produit soit proposé, le mieux serait certainement de laisser les boulangers créer leurs pains – ou ne pas en créer si c’est ce qu’ils souhaitent.

Dans le cas présent, ce pain à la menthe me fait un peu penser à un malabar. D’ailleurs, il est probable que l’on n’en soit pas loin en terme de texture quelques heures après l’achat. Je ne sais pas si certains d’entre vous ont testé, si c’est le cas, j’aimerais bien avoir votre avis ! Pour ma part, il faut que je trouve une boutique où ce pain est proposé pour me faire une idée par moi-même. Là encore, si vous avez des adresses… Je prends. Le painrisien aime les aventures gustatives et la prise de risque.

Actualité

17
Juin

2011

Bientôt les vacances d’été…

L’été est une période difficile pour un painrisien comme moi, qui ne part pas en vacances. Les boulangeries ferment et il devient difficile de trouver chaque jour de quoi varier les plaisirs… La grosse période de « creux » se situe entre la mi-juillet et début août, et à ce moment-là, c’est tout de même bien triste. Je l’ai vécu l’année dernière, un bel ennui en perspective.

Heureusement, quelques adresses restent ouvertes tout l’été, tel que Dominique Saibron, les boulangeries Landemaine, certaines boutiques Kayser (youpi), Paul (je suis en train de casser tout le sérieux de mon billet)… De quoi satisfaire ses envies painrisiennes, même si le choix se restreint. C’est là que « courir le pain » prend tout son sens : on court après les boulangeries ouvertes, on jongle entre les congés de chacun.

Pour ceux qui partent, il va falloir trouver des boulangeries sur place, même si cela n’est pas toujours facile…
Cette saison est un peu une « trêve » dans nos aventures enfarinées, et ce n’est peut être pas plus mal ! Cela permet de prendre encore plus de plaisir à la rentrée.

Bon, et du côté du painrisien cet été ? Et bien il sera toujours fidèle au poste. Les billets continueront normalement, entre boulangeries, lieux gourmands, pains du jour, réflexions, et d’autres choses qui se mettront en place au fil du temps. Il faut bien que quelqu’un vous tienne informés de l’actualité gourmande de la capitale, bien que réduite, alors que vous bronzez au bord des plages, non ?!

Ils avaient disparu avec l’hiver – hibernation oblige… ou plutôt absence de produits ! -, mais les revoici. Je veux parler d’Alexandre et Samuel, les deux sympathiques gérants de la société Terroirs d’Avenir. Leur crédo ? Dénicher des fruits et des légumes locaux, beaux et bio pour certains. Au programme, de vrais champignons de Paris produits à quelques kilomètres de la capitale, de toutes jeunes carottes jaunes (un vrai délice avec seulement un peu de sel et de poivre !), des fraises de plein champ, des asperges vertes et blanches, et bien plus encore.

Leurs clients sont habituellement les meilleures tables de la capitale. Ainsi, Yannick Alléno au Meurice a créé son menu « terroir parisien » avec beaucoup de produits fournis par les deux compères. La pêche de Montreuil, le chou de Pontoise, l’asperge d’Argenteuil, la rhubarbe de Villebon-sur-Yvette, la poule de Houdan… Autant d’éléments oubliés qui faisaient le terroir francilien. Les voici remis au goût du jour, et quel goût !

On les retrouvera donc tous les vendredi à partir de 14h/14h30 au 34 rue Yves Toudic, Paris 10è, juste devant la boulangerie Du Pain et des Idées. A noter également la présence d’un producteur de viandes, Michel et sa « Viande du Chateauneuf », qui propose notamment un excellent jambon blanc sans additifs ou encore du veau de première qualité.
Belle initiative de la part de Christophe Vasseur, qui cherche réellement à développer une démarche autour du goût et de produits de première qualité (beaucoup des ingrédients utilisés pour sa production sont biologiques, d’ailleurs). C’est un engagement rare, et il parvient à donner à sa boulangerie une autre dimension.

Vendredi prochain, ne manquez pas de faire un détour par le 10è, ne serait-ce que pour un peu de Rabelais (un pain brioché au miel de châtaignier, noix du Périgord, curcuma et safran, inspiré de l’auteur -délicieux avec du foie gras, proposé uniquement le vendredi) et quelques fruits ou légumes !

Actualité

26
Mai

2011

Fricote, l’épicurien urbain

« L’épicurien urbain », voilà une baseline qui ne pouvait que plaire au painrisien que je suis. D’autant que j’aime écrire… mais aussi lire, découvrir. Voici une jolie découverte, d’ailleurs. Fricote, un tout jeune magazine bilingue dédié à l’actualité culinaire, au design qui s’y rattache, à l’ensemble des tendances alimentaires.

C’est joli, plein de photos, et les sujets traités ne sont pas dénués d’intérêt. Dans ce troisième numéro, on retrouve notamment un entretien avec Thierry Marx au sujet de la street food, sur laquelle il porte un regard tout à fait en phase avec l’époque. Bel esprit d’ouverture pour un « grand chef ».


Des recettes et idées gourmandes sont également au menu, copieusement illustrées. Tout cela nous donne envie de nous mettre à table ! mais aussi de visiter, voyager au gré des sens et des lieux gourmands. On pourrait reprocher au magazine d’être très bobo-culinaro-parisien, mais l’ouverture sur l’international est bien présente, ainsi que des adresses dans le reste de la France.

En résumé, c’est frais, bien pensé, à lire et à relire. Fricote N°3 / Disponible en kiosques / 4,5€

Actualité

13
Mai

2011

Fête du pain

Cette semaine, c’est la fête du pain. Partout en France sont organisées des animations visant à promouvoir ce métier artisanal, et notamment à Paris. Depuis hier un fournil géant a été reconstitué sur le parvis de Notre-Dame. Au programme, fabrication de pain, accueil des visiteurs (250 000 attendus cette année !)… Ainsi que la finale France pour les sélections internationales de la Coupe du monde de la Boulangerie.

Vous pouvez retrouver des informations sur les manifestations prévues à travers le pays sur http://www.lafetedupain.com/

Je ne suis pas certain que cet événement ait une grande portée pour le grand public, mis à part à Paris où l’emplacement et les concours qui s’y déroulent créent de l’affluence. Les animations restent assez timides et limitées, c’est dommage. Dans un sens, le pain se vit aussi toute l’année chez son boulanger, qui devrait être le plus à même de donner à chacun le goût d’essayer de nouvelles saveurs et de découvrir ses produits. Malheureusement, la filière fait plutôt dans le traditionnel et dans le « balisé » : comme je l’ai déjà relevé précédemment, les gammes de produits sont uniformisées et peu qualitatives. Quelques jours ne suffisent pas à rattraper une année de tristesse gustative…

J’ai pris un peu de temps pour visionner et réfléchir au sujet de ce reportage.
Le message est en ligne avec l’air du temps et ce que je cherche à défendre ici : le « bon » pain doit se développer et prendre le pas sur ces masses blanches et difformes que l’on vendait sous la même dénomination.

Tout d’abord, une belle publicité est faite au couple Landemaine, bien qu’ils n’en aient pas vraiment besoin ! (boulanger de l’année pour le guide Pudlo, s’il vous plaît)
L’histoire de la jeune boulangère en reconversion professionnelle est un peu cousue de fil blanc mais cela traduit une certaine attirance envers ces métiers artisanaux. On peut toujours citer l’exemple de reconversions particulièrement réussies comme celle de Christophe Vasseur. De métier pas franchement glamour, avec des horaires et des conditions de travail difficiles, boulanger serait-il en train de devenir à la mode ? N’exagérons rien, mais cette « poussée » de vocations ne peut qu’être bénéfique pour la qualité du produit : ce seront toujours les artisans passionnés qui seront le plus à même de mettre de l’amour dans leur pain… et c’est un ingrédient bien nécessaire !

L’accent mis sur l’importance de la qualité des matières premières est tout à fait justifié. Il sera difficile de faire du bon pain avec de mauvaises farines. De plus, des farines telles que la T55 sont à déconseiller fortement, car elles présentent un indice glycémique élevé tout en n’offrant quasiment plus aucune source de fibres. Bien sûr, c’est joli, cela lève facilement, c’est plus facile à mettre en oeuvre… à bas la facilité au détriment du consommateur !
Pour autant, et c’est là que mon avis diverge avec celui de plusieurs intervenants de ce reportage, il ne faut pas tomber dans une forme d’intégrisme qui imposerait l’utilisation de levain et de farines bises (T80) ou complètes (T150). Ce n’est pas forcément un pain qui correspond aux goûts des consommateurs à l’heure actuelle, je ne peux pas dire que je sois par exemple un grand adepte du pain complet qui demeure assez dense et « bourratif ». Egalement, l’acidité caractéristique des pains au levain n’est pas appréciée par tout le monde… Il existe d’excellents pains de tradition française, tels que le Pain des Amis ou les pains de la gamme Alésiane de chez Dominique Saibron. Leur conservation, certes plus limitée que celle des pains au levain, reste excellente.

La quête du bon Pain n’est pas forcément de tout repos – surtout sur Paris où l’offre est diversifiée, mais cela est peut être pire encore en province où la plupart des artisans ont maintenant rejoint les grands « réseaux » proposés par les meuniers. C’est bientôt la Saint Honoré, patron des boulangers. On pourrait peut être lui demander un miracle… en attendant, faisons avec ce que nous avons. Utilisons nos meilleures matières premières (pas forcément bio, mais du moins cultivées dans le respect de nos terres), mettons de bons artisans dans les fournils. Nous avons aussi un rôle à jouer : en acceptant de mettre quelques centimes de plus pour acheter un bon pain, nous encourageons le maintien – et le développement – de filières plus qualitatives. Pour quelques centimes, cela n’en vaut-il pas la peine ? Le changement s’écrit au quotidien…

Un reportage sur le pain est actuellement diffusé sur France 5. Voici le descriptif fourni par la chaîne :

Comment définir un pain de bonne qualité ? Comment le fabrique-t-on ?
Chaque boulanger vante la qualité et le goût de son produit, qu’il soit artisanal ou industriel.
Les nutritionnistes conseillent et les chercheurs analysent pour améliorer la qualité nutritionnelle et informer le consommateur sur ce qu’il achète. A chacun de faire ses choix.
En suivant différents professionnels, ce documentaire emmène le téléspectateur à la découverte du monde complexe de la boulangerie.

Il sera diffusé ce soir à 20h35 ainsi que plusieurs autres fois dans la semaine. Vous pouvez toujours le retrouver (jusqu’à dimanche prochain) sur le site de France 5 dans son intégralité à l’adresse suivante :
http://documentaires.france5.fr/documentaires/en-quete-du-bon-pain

Je vais quant à moi le visionner et reviendrai sur mes impressions par la suite…